Pagine

lunedì 5 luglio 2010

Pourquoi apprendre le francais: citations

"La langue est un lien remarquable de parenté qui dépasse en force le lien de l’idéologie (...). La langue française constitue l’appoint à notre patrimoine culturel, enrichit notre pensée, exprime notre action, contribue à forger notre destin intellectuel et à faire de nous des hommes à part entière".
[Habib BOURGUIBA , Chef de l’Etat tunisien (1957-1987) devant l’Assemblée nationale du Niger, en décembre 1965]
"La Francophonie sera subversive et imaginative ou ne sera pas !"
"La Francophonie est née d’un désir ressenti hors de France"

"La Francophonie nous permet de nous organiser, nous Arabes, Africains et autres identités menacées par le rouleau compresseur des industries culturelles américaines car, seuls, nous ne serions pas assez forts pour nous défendre..."
[Boutros BOUTROS-GHALI , Secrétaire général (égyptien) des Nations unies. Le Monde, 2 décembre 1995, Cotonou, VIe sommet de la Francophonie, 3 décembre 1995]
"La Francophonie a vocation à appeler toutes les autres langues du monde à se rassembler pour faire en sorte que la diversité culturelle, qui résulte de la diversité linguistique, que cette diversité soit sauvegardée. Au-delà du français, au-delà de la Francophonie, il nous faut être les militants du multiculturalisme dans le monde pour lutter contre l’étouffement, par une langue unique, des diverses cultures qui font la richesse et la dignité de l’humanité."
[Jacques CHIRAC , président de la République française

"La langue, la culture et la civilisation françaises appartiennent à toutes les familles spirituelles et politiques de notre pays et des autres pays qui se réfèrent à notre idiome. La langue française est médiatrice et non pas impératrice !".
[Xavier DENIAU , député, à la tribune de l’Assemblée nationale française en 1976, "La Francophonie", ed. PUF, coll. Que sais-je ?, 1998, 4e édition]
"C’est une belle langue à qui sait la défendre Elle offre des trésors de richesses infinies On dirait que le vent s’est pris dans une harpe Et qu’il a composé toute une symphonie"
[Yves DUTEIL , artiste français, dans la chanson "La langue de chez nous" - Oscar 1986 de la chanson française]
"La France met à la disposition du monde une langue adaptée par excellence au caractère universel de la pensée (...). Notre langue et notre culture constituent pour un grand nombre d’hommes hors de France et hors du Canada un foyer capital de valeurs, de progrès, de contacts et c’est tout à la fois notre avantage et notre devoir de la pratiquer et de la répandre".
[Charles DE GAULLE , chef de la France libre (1940-1944), président de la République française (1958-1969) ]
"Quand un éditeur chinois, un universitaire américain feignent de ne pas apercevoir la place qu’occupe la France dans mon travail, est-ce une ignorance ? Ou est-ce autre chose ? (...). Car la francophobie, ça existe ! C’est la médiocrité planétaire voulant se venger de la supériorité culturelle française (...). L’arrogance francophobe m’offense personnellement".
[Milan KUNDERA , écrivain tchèque de graphie française, cité par Kvetoslav Chvatik, "Le monde romanesque de Milan Kundera", Gallimard, 1995]
"En un temps où les empires morts ont fait place à de vastes républiques de l’esprit, qu’il me soit permis de me limiter aux valeurs que nous défendons ensemble dans ce domaine, aux réponses que la culture française d’hier, la culture francophone de demain apportent aux questions décisives que nous pose à tous la civilisation d’aujourd’hui".
[André MALRAUX , écrivain, alors ministre d’Etat aux Affaires culturelles du général de Gaulle, lors de la conférence de Niamey (17-20 février 1969) préludant à la création de l’Agence (francophone) de coopération culturelle et technique]
"La Francophonie commence à l’école. C’est à l’école qu’elle apprend à se marier avec toutes les formes, les références, les valeurs, d’une humanité très ancienne. Il y a des écoles françaises au Chili ou en Bulgarie, comme il y en a dans nos banlieues difficiles et dans nos beaux quartiers. Sous toutes les latitudes, on y aprend à devenir plus : à entrer dans une histoire qui est le contraire d’une nostalgie, dans une communauté qui est le contraire d’un ghetto."
[Alain PEYREFITTE , Le Figaro, mars 1996]

"Ce qui n’est pas clair n’est pas français !"

[Antoine de RIVAROL, essayiste français d’origine italienne, "Discours sur l’universalité de la langue française", 1784]





Nessun commento:

Posta un commento